nom/prénom(s): hamilton, kennedy oxana. ▻ âge et date de naissance: âgée de vingt-et-un ans, née le dix mars. ▻ lieu de naissance: Phoenix, Arizona. ▻ origines: américaines. ▻ lieu de résidence actuelle: phoenix, arizona. ▻ situation financière:aisée. ▻ situation amoureuse:célibataire. ▻ 6 adjectifs pour te décrire:défaut δ qualité δ défaut δ qualité δ défaut δ qualité.
pseudo/prénom:hummingbird/romane. ▻ âge:dix-huit dès le vingt-trois octobre. ▻ célébrité:nina constantinova dobreva, ma plus belle. (a) ▻ D'où viens-tu comme ça ?:bazzart est mon meilleur ami. ▻ que penses-tu du forum ?:il est tellement nul. ▻ code du règlement:réponse ici. ▻ crédits banières: via tumblr.
formulaire créé par pancakes. aucune reproduction totale ou partielle ne sera admise.
Dernière édition par Kennedy Hamilton le Ven 14 Oct - 21:28, édité 3 fois
Sujet: Re: △ LET ME BE THE ONE. Lun 10 Oct - 21:22
She said : "Boy can I tell you a terrible thing ? It seems that I'm sick and I've only got weeks. Please don't be sad, now I really believe you were the greatest thing that ever happened to me."
31 DECEMBRE 2008, PHOENIX (ARIZONA).
« J'arrive ! » Je criais assez fort afin que ma voix porte jusqu'à l'entrée, alors que quelqu'un frappait. Je sortais à peine de la douche. En quatrième vitesse, j'enfilais un jean et un haut blanc, avant de jeter la serviette sur mon lit et de descendre les escaliers deux à deux. J'ouvris la porte à la volée et vis Maxime debout devant ma porte, l'air perdu. Je fronçais les sourcils. « Maxime ? Qu'est-ce qui se passe ? » Un long silence s'écoula, avant qu'il relève la tête vers moi. « Je peux entrer deux minutes ? » J'ouvrais en grand ma porte, afin de le laisser passer. « Bien sûr. » J'aimais beaucoup Maxime, mais nous n'étions pas les meilleurs amis du monde. Il était le grand frère incroyablement sexy de ma meilleure amie. Il alla prendre place sur le canapé du salon. En le voyant mal, j'allais m'installer à ses côtés, posant ma main sur ses genoux. « Elle est malade. » Je ne répondis rien, ne comprenant pas vraiment de quoi il voulait parler. Mais je compris immédiatement que c'était important et grave, et que ça le bouleversait. « Notre mère. Elle a un cancer du sein, en phase terminale. Les médecins sont très pessimistes. » La nouvelle me fit l'effet d'un choc. Je m'approchais un peu plus de lui et posais mes bras autour de son cou afin de le serrer contre moi. « Oh non, je suis désolée. » Il accepta cette étreinte avant de se reculant, reprenant une expression froide et distance, cachant ce qu'il ressentait réellement. C'est comme s'il reprenait ses esprits. « Je ne suis pas venu pour moi. Enfin, c'est plus Soren qui m'inquiète. » Je fronçais les sourcils, le souvenir de ma meilleure amie surgissant dans mon esprit. Dans quel état elle devait se trouver, la pauvre. « Elle se renferme sur elle-même, ne sort presque plus, ne mange que très peu. Je sais pas comment gérer ça. Peut-être que toi, si. Je veux dire, tu la connais plus que n'importe qui. » Je me faisais peut-être de fausses idées, mais il semblait gêné de me demander de l'aide. Je souris légèrement, un sourire encourageant et compatissant. « Je vais aller la voir. Mais toi, tu es sûr que ça va aller ? » Il hocha positivement la tête, et se releva, se dirigea vers la porte. « Oui, c'est bon. Merci pour ton aide. » Il me serra une dernière fois dans ses bras avant de s'en aller. Je soupirais en refermant la porte derrière lui, et remontais dans ma chambre pour finir de me préparer, ayant en tête de passer voir Soren après. Elle avait besoin de moi, Maxime aussi, et je n'allais pas les laisser tomber maintenant.
So what's your favorite movie ? 'Cause I'll be coming home soon. We could be together, always and forever.
20 JUIN 2009, PHOENIX (ARIZONA).
« Tu sais que tout le monde parle de nous comme le nouveau couple populaire ? » me murmura-t-il, adossé au casier voisin du mien tandis que je déposais mes affaires à la fin de la journée. Je regardais Austeen en rigolant avant de refermer mon casier. « Sauf que nous ne sommes pas un couple. » Je arquais un sourcil parfaitement épilé dans une moue malicieuse et commençais à marcher aux côtés d'Austeen. Ces derniers temps, j'avais légèrement délaissé mes amis de toujours pour traîner avec Austeen. Ca ne faisait que quelques jours que nous nous étions rencontrés, avec une technique de drague plutôt pitoyable de sa part, mais ça m'avait fait rire et ça avait fini par nous rapprocher. Je l'aimais bien, j'aimais sa compagnie. Et lorsqu'il nous évoquait comme un couple, j'aimais cette idée, et je laissais mon esprit vagabonder pendant quelques minutes, avant de reprendre le total contrôle de mes idées. Je ne voulais pas me précipiter, et gâcher une amitié qui pourrait être géniale. Mais au final, Austeen et moi étions-nous vraiment fait pour être de simples amis ? « On va chez toi ou chez moi ? » J'aimais aussi sa façon de demander les choses sans y aller par quatre chemins. Je soupirais. « J'aimerais bien, mais j'ai mon cours de danse, je te rappelle. On est jeudi soir. Mais je peux peut-être te retrouver chez toi après ? » Il afficha un immense sourire. « Je serais au rendez-vous. » Comme à son habitude, il se pencha pour essayer de m'embrasser, mais je l'esquivais à la dernière minute, déposant un baiser sur sa joue et tapotant amicalement son torse. « Désolée mon pote. » dis-je en insistant sur le dernier pote. Il rit, amusé, et je m'en allais sous son regard insistant.
Dernière édition par Kennedy Hamilton le Dim 16 Oct - 22:12, édité 6 fois
Sujet: Re: △ LET ME BE THE ONE. Lun 10 Oct - 21:22
Can you hear my call ? Are you coming to get me now ? I've been waiting for you to come rescue me. I need you to hold all of the sadness I cannot live with inside of me.
14 FEVRIER 2010, PHOENIX (ARIZONA).
Assise dans le noir, avec pour seule lueur les rayons du clair de lune s'invitant dans la pièce, je fixais un point invisible. Je n'avais plus de forces, à cause des pleurs incessants qui avaient fait partie de ma vie depuis quelques jours. Rien n'avait plus aucun sens pour moi depuis que mon père s'était fait assassiné sous mes yeux de la façon la plus brutale. Je n'arrivais pas à faire face à cette épreuve, je n'arrivais pas à m'en relever. Et je m'en sentais énormément coupable vis-à-vis de Soren, ma meilleure amie, et d'Austeen, mon petit ami depuis quelques années maintenant. Ils essayaient de m'aider du mieux qu'ils pouvaient, et je ne faisais que de les rejeter et me rabattre sur moi-même. Perdue dans mes pensées, je ne me rendis pas compte de l'entrée d'Austeen dans la chambre. Je ne le réalisais que lorsqu'il s'assit à mes côtés, et posa une main sur mes genoux regroupés près de mon buste. Je relevais des yeux vides d'émotions vers lui. « Viens manger. » me dit-il d'une voix douce. Je secouais la tête. « Je n'ai pas faim. » Je l'entendis soupirer, car il n'avait pas essayé de le cacher cette fois-ci. Je savais qu'il ne voulait pas me brusquer mais que mon comportement ne rendait que les choses plus difficiles pour lui. « Ca fait des jours que tu n'as pas mangé. Kennedy, tu m'inquiètes vraiment. Il faut que tu arrêtes ça. » Je n'avais pas l'habitude de pleurer facilement, mais ces mots eurent l'effet de déclencher un nouveau flot de larme. Austeen se rapprocha légèrement et passa ses mains autour de moi afin de me prendre contre lui. Je laissais tomber ma tête sur son épaule. « Je suis tellement désolée d'être un tel problème pour toi. » dis-je entre deux sanglots. Je sentis la main d'Austeen caresser mes cheveux. Je ne l'avais pas encore avoué jusque-là, mais j'avais réellement besoin de lui. Le sentir près de moi, à cet instant précis, me faisait me sentir un peu mieux. Du moins, je savais que j'avais quelqu'un sur qui compter, et c'était extrêmement rassurant. « Ne t'excuse pas, Kennedy. Tu as tous les droits d'être dans cet état. Je veux juste t'aider à aller mieux, peu importe le temps que cela prendra. Je ne t'abandonnerais jamais. » C'était les seuls mots dont j'avais besoin maintenant.
I said I used to think the past was dead and gone, but I was wrong, so wrong.
13 MAI 2011, PHOENIX (ARIZONA).
« Kennedy, je peux entrer ? » Je savais que je n'avais pas besoin de répondre pour qu'elle s'invite comme chez elle. Après tout, ma maison était comme un deuxième foyer pour elle, et sa maison l'était pour moi. Elle vint s'allonger à mes côtés, et tandis que je sentais son regard posé sur moi, je laissais mon regard dans le vide. « Qu'est-ce qu'il se passe ? » Le fait que Soren soit si enthousiaste me perturba. Elle l'était toujours, et c'est ce que j'aimais chez elle. Elle me ramenait vers le haut. Mais là, je me sentais coupable vis-à-vis d'elle, et j'avais peur de ce qu'elle pourrait me faire quand elle découvrirait la vérité. Mieux valait tout lui dire, c'était mieux qu'elle me gueule dessus plutôt qu'être aimante comme ça. « J'ai couché avec ton frère. » Un silence se fit entendre, et je tournais la tête vers Soren en fronçant les sourcils d'un air inquiet, guettant sa réaction. Soudain, un immense sourire s'afficha sur ses lèvres. « Mais c'est génial ! Je savais que ça arriverait un jour, ça se voyait comme le nez au milieu de la figure que y avait une tension sexuelle entre vous. » Je fis les gros yeux, pensant une seconde que je venais d'halluciner. Je me relevais, l'imitant. « Mais... Soren, c'est ton frère. Et puis... Je me sens coupable vis-à-vis d'Austeen. » Elle secoua la tête d'un air désespéré, comme si j'étais un cas irréparable. « Kennedy, je veux pas enfoncer le couteau dans la plaie, mais Austeen et toi, c'est terminé. Et si tu veux mon avis, c'est mieux comme ça. » Je savais que Soren n'avait jamais aimé Austeen, en partie parce que je l'avais légèrement délaissée au début de notre histoire. « Franchement, tu vas beaucoup mieux avec Maxime. » Je lui donnais un regard méchant. « Maxime et moi, on est pas un couple pour autant. Lui et moi, non merci. » Soren regarda sa montre et fit un regard horrifié. « Je vais être en retard pour mon cours de tennis. Je t'appelle. Et tu verras, Maxime et toi, ça va être épique. » Elle m'embrassa sur la joue et sauta du lit avant de se précipiter vers la sortie. Je ris légèrement, amusée, avant de me rallonger en soupirant, me répétant ses paroles.
Leven Emerson
Date d'inscription : 30/08/2011 Messages : 121 Crédits : hilarious monkey (avatar) ▲ tumblr (bann.) ▲ christina perri (lyrics). Célébrité : kristen stewart.
Sujet: Re: △ LET ME BE THE ONE. Mar 18 Oct - 18:22
mon amante et dobreva t'es superbe avec elle grace à toi nina remonte dans mon estime mais tu le sais déjà