CONTEXTE ▲ somewhere only we know.

Ҩ SOMEWHERE ONLY WE KNOW.

« On avait pour seul bagage l’insouciance du bon temps passer entre amis. On avait pour seule envie de jouir du temps qui nous été imparti. On avait une bande d’amis, une famille, des passions, des ambitions et des projets. Lui rêvait autrefois de conquérir le monde avec son chiot aux grandes oreilles en disant que les indifférences renforceraient nos convergences. Moi j’avais juste la modestie de l’embrasser et rien qu’une fois s’en blaguer, j’aurai désirée qu’il m’avoue ses sentiments. La vie ne se ressemble pas, et les temps changent beaucoup notre entourage, et nous aussi par la même occasion. On rêvait tous de voyages à l’autre bout du monde, de se retrouver au centre de l’attention, de fuir nos peurs en mettant notre avenir de coté mais on ne défi pas la loi de l’évolution des mœurs. Malgré toutes ses années passées, on est tous présent au même endroit sans pour autant se souvenir des vestiges antérieurs qui on nourrit notre passé. J’aurai voulu quitter la ville sans me retourner, malheureusement il y a toujours un lien ou un évènement pour nous rattacher à nos racines ou nous mettre devant le fait qu’on ne peut pas définitivement reculer l’échéance de nos désirs. Les liens amicaux riment souvent avec plaisirs et désirs, malheur et bonheur, peine et aubaine, et on récolte le meilleur des surprises. On a tous des rancœurs, des petits bonheurs mais au final la vie est une festivité de chaque jour à partager en chœur. ».

Mes amis, mes amours, mes emmerdes. C’est ainsi que se peuple notre existence de manière universellement parlant, et c’est aussi de cette manière que l’on revient toujours à la même rengaine, aux mêmes coutumes. Malgré les agacements, et les diverses redondances du quotidien on revient toujours - de manière généralement s’entend - vers ceux qui ont forgés notre vie. Cela peut paraitre ridicule, mais nous savons tous que ce dernier n’a jamais réellement tué personne. On a tous vécus des rires complices et partagés dans les cours de l’école primaire, on a tous adorés vivre des instants d’amours peu communs, et on a tous soutenu notre prochain lors d’une période douloureuse qui devait être emplit de soutien sur et fiable. Mes amis, mes amours, mes emmerdes. Après les amis viennent sans aucun doute les peines de cœur que certains vous affligent comme une lettre à la poste. A partir de cet instant on pense au le lendemain sera fortuit pour les autres, mais certains se détachent du lot pour venir vous regarder ou vous lancer une œillade avec un message précis: celui de se relever et de faire passer le mot. Chacun sa route, chacun son chemin et passe le message à ton voisin. On fait passer le mot qui prend la mesure et prend de la vie et de la teneur sous forme de chanson. Une mélodie de plus qui s’entend sur les ondes de plusieurs radios et se chantonne à tue-tête dans les ruelles. Mes amis, mes amours, mes emmerdes. On sort les petits mouchoirs de galères pour essuyer nos problèmes. Ceux là nous rapproche les uns des autres et après cette période péjoratif on refait tourner la roue du destin pour revivre les choses et ainsi de suite. Mes amis, mes amours, mes emmerdes.