AMOUR - La culture c'est comme la confiture, moins on en a plus on l'étale. [FINI]

**Date d'inscription** : 01/11/2011 **Messages** : 8 **Crédits** : dadeloux

▻ amour juliet finley-jones

nom/prénom(s): Finley est le nom de son père et Jones celui de sa mère, ils voulaient tout les deux laisser leur trace. Pour ce qui est de son premier prénom, cela viens de la passion de ses parents pour la France et comme elle était la preuve de leur amour, ça a été comme une évidence. Quand à Juliet, c'est en homme à la pièce du grand William Shakespeare. ▻ âge et date de naissance: premier mai mille neuf cent quatre vingt-neuf. ▻ lieu de naissance: Phoenix. ▻ origines: Américaine. ▻ lieu de résidence actuelle: Phoenix. ▻ situation financière: confortable. ▻ situation amoureuse: amoureuse mais célibataire. ▻ 6 adjectifs pour te décrire: rancunière δ souriante δ impulsive δ tolérante δ casse-cou δ loyale. ▻ Groupe: les petits mouchoirs.

⇝ i'm too young to die

⇝ A perdu ses parents quand elle avait treize ans et c'est son oncle qui a obtenu sa garde. Elle est très proche de lui, il est un peu le frère qu'elle n'a jamais eu.
⇝ N'a jamais réellement penser à ce qu'elle pourrait faire de son avenir, mais elle a toujours eu un talent évident pour la peinture.
⇝ Sa première relation amoureuse a été avec le fils de ses voisins, un garçon de son âge avec qui elle s'entendait bien. Ils sont même rester amis après leur rupture.
⇝ Sa mère lui a fait prendre des cours de danse très tôt dans son enfance, elle n'a jamais aimer ça, mais après le décès de cette dernière elle a continuer car c'était la dernière qui les reliaient.
⇝ A éclater de rire le jour du mariage d'une amie de son oncle au moment du "oui" solonnel. Pour elle le mariage n'est qu'une grande blague et cela fini toujours par un divorce ou parfois un meurtre.
⇝ Est une fan incontesté des dessins-animés Disney, elle a une collection vraiment impressionnante.
⇝ Vit sa vie à fond, elle sais que tout peut s'arrêter du jour au lendemain.
⇝ N'a aucun talent en cuisine, mais elle ne peut s'empêcher de faire des petits plats aux gens de son entourage, ces derniers y goûtent par politesse mais n'ont jamais eu le courage de lui dire qu'elle était vraiment nulle.
⇝ Est amoureuse du personnage de Matthew Gray-Gubler dans Esprits Criminels, elle a même acheter les coffrets DVD de la série pour pouvoir le voir quand elle le veux.
⇝ Adore aider les gens dans le besoin, que ce soit en donnant une pièce aux SDF dans la rue ou en aidant une personne âgée à faire ses courses.
⇝ Est très fière de son prénom, mais beaucoup la surnomme Amy qui est beaucoup plus facile à prononcer.
⇝ N'a jamais pleurer devant Titanic contrairement à beaucoup de ses amis, mais elle est une véritable fontaine devant N'oublie jamais.

⇝ we own the night

pseudo/prénom: Marine. ▻ âge: Dix-huit ans. ▻ célébrité: Tamsin Egerton. ▻ D'où viens-tu comme ça ?: De France. ▻ que penses-tu du forum ?: Bien construit, bon contexte et surtout design accrocheur. ▻ crédits banières: Danny-Jones.

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⇝ making a memory

Je regardais mon oncle qui étais assis en face de moi, en train de se triturer les doigts tout en me jetant des regard presque apeuré. Il me donnait envie de rire, mais je n'avais pas le droit de rire en ce moment parce que mes parents venaient de mourir. Je ne voulais pas être heureuse alors qu'ils n'étaient plus avec moi pour profiter des bons moments de la vie, même si ma grand-mère m'avait dit de continuer à vivre. C'est qu'ils auraient voulu d'après ce qu'elle m'a dit, mais comment est-ce qu'elle peut le savoir ? Elle a juste dit cela pour essayer de me remonter le moral et que j'arrête de penser à eux. Mais je pourrais jamais les oublier. J'aimerais bien voir maman débarquer, complètement déborder pour me conduire à la danse et moi tenter de la supplier de ne pas y aller. Toutefois aujourd'hui je me fait la promesse de ne râté aucun cours, d'y aller à chaque fois comme cela je serais toujours auprès d'elle. « Alors, qu'est-ce que tu veux faire gamine ? » Il avait toujours eu le chic pour engagner la conversation ou me parler, pour lui j'étais toujours une enfant de cinq ans, celle qui faisait tout pour gagner son attention. Nous avions que neuf ans d'écart, mais j'avais parfois l'impression qu'il avait le même âge mental que moi, autant dire que par moment ça ne devait pas voler haut chez lui. Je me demandais encore pourquoi mes parents avaient choisi de le choisir comme tuteur légal, mes grands-parents auraient été bien mieux dans ce rôle. « Je sais pas trop, on pourrait aller faire une balade. » En voyant son visage, je vis tout de suite qu'il n'avait pas l'air partant. Je soupirais avant de jeter un regard autour de nous, j'étais chez moi, dans la maison où j'avais grandi mais je ressentais la drôle d'impression d'être comme une étrangère. Depuis que mes parents n'étaient plus là, cette maison me semblait bien différente. Pourtant rien n'avait changer si on omettait la fait que Ben avait amener bon nombre de ses affaires, surtout sa console. Je vis son regard ce poser dessus et il me lança un regard plus qu'insistant pour me faire comprendre ce qu'il attendait. « Quoi, tu veux que je fasse une partie avec toi ? » Il me lança un grand sourire avant de se lancer pour mettre la machine en route, j'aurais l'impression de voir un gamin. Je m'approchais et attrapais la manette qu'il me tendait, regardant attentivement comment cela pouvait fonctionner. Après tout j'étais une fille et je n'avais jamais été porter sur ce genre de jeux. La première partie fut plus que laborieuse pour moi, il fallait que je trouve les bons moments pour faire tourner ma voiture sans quelle finisse dans le décor. La seconde fut un peu plus aisée et à la troisième je la remportais avec un grand cri de victoire. « Je veux ma revanche. » Un éclat de rire passa mes lèvres alors que je le regardais ce mettre en condition comme il le disait si bien, tout ça avant de me stopper dans mon geste. C'était mon premier éclat de rire et je n'avais pas eu le temps de le contrôler, il avait été instinctif et il me faisait énormèment de bien. Mais ce qui m'étonna le plus, c'est le petit sourire heureux sur les lèvres de mon oncle. « Je ne plaisante pas, c'est partie, il faut absolument que je t'écrase. » Je lui renvoyais un petit sourire avant de jeter un regard sur ma manette, je croyais pas pouvoir me sentir aussi bien depuis le décès de mes parents. Jouer à la console allait devenir un passe-temps vraiment agréable.

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« Je te l'ai dit, mon oncle n'est pas là. » J'attrapais sa main et l'attirais vers moi pour qu'il m'embrasse, cela faisait quelques mois que nous étions ensemble et pour moi il était tant que nous passions cet étape. James était un garçon gentil, il avait un an de plus que moi mais était aussi avait une timidité presque handicapante, pourtant il avait beaucoup pour lui. C'était un joli garçon, plutôt intelligent et faisant partie de l'équipe de base-ball de notre lycée. Alors que je passais une main sous son tee-shit, il me repoussa doucement avant de jeter un oeil autour de lui comme-ci c'était la première fois qu'il venait ici. Je poussais un soupir de désespoir avant de m'installer sur le canapé et de sortir mes cahiers de cours pour avancer dans mes leçons. Je sentis rapidement le canapé s'affaisser à côté de moi mais je ne relevais pas les yeux de mes exercices de mathématiques. « Tu travailles sur quoi ? » Je faisais semblant d'écrire une réponse tout en sâchant pertinemment que ça serait faux, je n'avais jamais été à l'aise avec les chiffres, mais j'y jetterais un oeil un peu plus tard. « Un truc sur les fonctions carré, je n'ai pas très bien compris. » Attrapant ma trousse, je fouillais dedans à la recherche de ma gomme quand je senti sa main sur la mienne qui me stoppa dans mon geste. Je relevais les yeux vers lui qui semblait tout à coup déterminer, un sourire vint se peindre immédiatement sur mes lèvres. Dans un geste, je repoussais toutes mes affaires avant de l'attirer à moi et de nous allonger sur le canapé. Il prenait l'initiative de m'embrasser et je le laissais faire tout en laissant mes mains courir sur son corps, appréhendant encore une fois le moment où il me repousserait à nouveau. Parce que cela allait arriver, j'en était plus que certaine. Mais à mon grand étonnement, au bout de dix minutes nous étions encore en train de nous embrasser avec quelques vêtements en moins. Il semblait un peu plus à l'aise et je n'allais pas le laisser m'échapper. Il allait passer à la seconde étape, soit m'enlever mon pantalon quand le bruit de la porte d'entrée nous fit sursauter et surtout chercher nos vêtements. Bien entendu, mon oncle rentra au même moment dans le salon et nous trouva en train d'essayer de nous rhabiller. Ce a quoi je ne m'attendais pas était le grand sourire sur ses lèvres et son regard carrément amuser par la situation, j'avais vraiment honte. « Je voulais pas vous déranger les amoureux, désolé, mais j'ai oublier un devoir important que je devais rendre aujourd'hui... Faites comme-ci je n'étais pas là, j'en est pas pour longtemps. » Le rouge aux joues, j'essayait littéralement de me fondre dans le décor pour ne plus avoir à le voir s'amuser de la situation. Alors que je croyais qu'il allait repartir, il m'assena le coup de grâce. « Protégez-vous surtout, je n'aimerais pas être grand oncle avant d'avoir au minimum trente-cinq ans. Amusez-vous bien. » Une fois la porte refermée, je jetais un oeil vers mon petit-ami qui n'avait pas bouger d'un pouce et qui semblait complètement choquer, tout comme je devais l'être aussi. Ben allait finir par avoir ma peau un jour, littéralement. Ne sâchant que faire, j'attrapais mon maillot pour le remettre avant de me réinstaller. « Tu ferais mieux d'y aller, on se verra demain. » Il acquiesça avant de déposer un rapide baiser sur ma joue, prenant la fuite comme une souris devant un chat. Ca n'aurait pas pu être pire, oh non.

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Ce qu'il y avait comme avantage à vivre avec mon oncle, c'était qu'il m'avait fait boire ma première bière assez jeune puisque je n'avais que quatorze ans. Il pensait que cela me dégoûterais et que je ne voudrais plus y toucher ensuite, c'était ses responsabilités qui avaient repris le dessus. Mais voilà, j'y avais pris goût et comme il n'avait des "crises" de bon sens que très rarement, il m'avait laisser boire une bière de temps en temps. C'est même avec lui que j'avais pris ma première cuite à seize ans, un moment plus que mémorable. Là, c'était leur petit moment à deux, avec une canette et des pizzas sur la table basse devant un film qui par moment était pathétique. Ce soir, c'était Men in Black qui l'avait emporter, même s'il n'y avait pas réellement eu de discussion pour ce choix. « Alors, quoi de neuf ? » La question, je l'avais lâché la première pour ne pas à avoir a parler pour le moment, puis j'adorais quand il me racontais les trucs bizarres qui pouvaient lui arriver. « Le nouveau concept avance très bien, il est même en phase de test en ce moment. C'est vraiment une bonne chose... Puis, il y a une fille... » Alors là, il avait tout bonnement attirer mon attention et je posais ma canette de bière pour me tourner vers lui pour connaître tous les détails. Dans ce genre de situation, j'étais vraiment une fille. « Bein parle. » Il soupira avant de passer une main dans ses cheveux, ce n'était pas facile pour lui il avait toujours eu un peu de mal avec la gent féminine et ses relations ne duraient jamais longtemps. « Elle est tout ce dont je rêve, belle et surtout elle ne part pas en courant quand on parle de jeu video. C'est notre nouvelle graphiste, elle a énormèment de talent. » Un peu plus et je pouvais voir des étoiles briller dans ses yeux, il avait l'air carrément fou de cette fille et je devais avouer que j'étais presser de la rencontrer. Elle devait être incroyable pour qu'il en parle comme cela. « Et toi ? » Je faisais semblant d'être intéresser par ma canette de bière et pris le temps de réfléchir quelques minutes avant de parler. « Pas grand chose de nouveau, pas de garçon et mes études se passent plutôt bien si on omet le fait que l'un de mes profs peut pas me voir en peinture... C'est réciproque, il me donne de l'urticaire. » Je ne pouvais pas décemment lui dire que j'avais des sentiments pour celui qui était son collègue et bras droit, ce garçon qui était inaccesible pour moi. Il acquiesça avant de prendre une gorgée de sa bière, soupirant avant de passer une main dans ses cheveux. « On fait vraiment la paire tous les deux. » Un rire passa mes lèvres. « J'y peut rien, c'est toi qui déteint sur moi. » C'était notre vie, nos petites habitudes et malgré le fait que mes parents me manquait toujours autant, je me demandais ce qu'aurais été ma vie si il n'en avait pas fait partie.